samedi 21 décembre 2013

Les cavaliers d'offrande de 1813 (Revue drômoise, n°550, déc. 2013)

 En janvier 1813, Napoléon doit reconstituer son armée, diminuée par la désastreuse campagne de Russie. Il utilise la conscription, mais incite aussi les communes de l'Empire à lui faire "l'offrande" de cavaliers armés et équipés. Le recrutement des "cavaliers d'offrande" est extrêmement rapide (quelques semaines). Claude Magnan, après avoir présenté rigoureusement le processus qui conduit à l'incorporation de 86 cavaliers drômois, en donne une liste prosopographique (plus ceux qui n'ont pas été incorporés). Le sort de la plupart est méconnu (25 peuvent encore recevoir la médaille de Sainte-Hélène en 1857-58, la mort ou la disparition de 7 d'entre eux seulement en 1813 ou 1814 a pu être repérée).

Outre ce dossier d'une cinquantaine de pages, la RD propose le texte de deux conférences sur les temples (protestants) drômois (Michel Mazet) et sur les droits des Grimaldi, ducs de Valentinois, au Buis (Alain Balsan), deux témoignages-hommages sur l'organiste Marie-Claire Alain, liée au Festival de Saint-Donat, et des articles d'actualités.

jeudi 19 décembre 2013

Twitter

J'ai créé un compte Twitter depuis un peu plus de deux mois, au nom de @RevueDromoise. Avec  200 tweets aujourd'hui, bien plus que je ne le pensais au début, cette nouvelle façon de surfer fait un peu fouillis. En voici quelques clés.

Comme beaucoup de publications savantes régionales, la RD reflète d'abord les centres d'intérêt de ses concepteurs (mais de nouveaux projets extérieurs au comité de rédaction sont bienvenus). Il en va de même pour Twitter, réseau social dans lequel j'ai essayé de construire un fil d'actualité reflétant à la fois les centres d'intérêts d'une partie de l'équipe (la Grande Guerre, le Protestantisme, les ordres religieux médiévaux, la gastronomie), l'actualité drômoise (en particulier lorsqu'elle touche à l'aménagement du territoire ou au tourisme), les rencontres locales autour du patrimoine plus quelques annonces de séminaires lyonnais ou stéphanois.
J'y ajoute parfois quelques perles du net ou réactions d'historiens (j'aime bien Emmanuel Laurentin, Laurent Albaret et Henry Rousso, très actifs sur Twitter).
YV