Saint-Antoine, en Isère mais aux marges de la Drôme, fut le centre d'un ordre religieux médiéval à la fois très important, au rayonnement "européen" et très original. Il s'agit d'un ordre hospitalier spécialisé dans les soins aux malades atteints du "mal des ardents". A son profit, les chanoines menaient des quêtes et la population élevait les "porcs de Saint-Antoine", marqués par un Tau grec. Le succès de cette 
congrégation à la fin du Moyen Age modifia le traitement iconographique du personnage de saint Antoine, au départ un ermite égyptien dont l'abbaye était réputée détenire les reliques : de nombreuses représentations le montrent désormais accompagné du cochon et de sa clochette.
congrégation à la fin du Moyen Age modifia le traitement iconographique du personnage de saint Antoine, au départ un ermite égyptien dont l'abbaye était réputée détenire les reliques : de nombreuses représentations le montrent désormais accompagné du cochon et de sa clochette.Samedi 28 mars 2009. RDV devant l'office du tourisme à 10 h. en voitures particulières : visite de l'abbaye, du musée, de la salle des gypseries (salon des hôtes de l'abbaye); visite de la chapelle de Saint-Jean le Fromental.
Inscription avant le 15 mars. 12 euros.
Inscription avant le 15 mars. 12 euros.
Saint Antoine dans le ms. 32 de la BM de Valence, ici sans le porc, mais avec la clochette, le Tau et le "feu de saint antoine". Iconographie consultable sur le site des médiathèques valentinoises.
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